Pour l’entretien au concours …

 

 

 

Analyse de performance … Quelques petites choses à dire :

 

·        Expliquer les choses biologiquement (VMA, …) mais ne pas rester sur le général, il faut parler de sa

performance.

 

·        Penser à parler du paramètre psycho-affectif : Sensation de fatigue est très subjective, on la repousse

avec l’entraînement.

Le jour de l’épreuve, on dépasse ses temps habituels grâce à la motivation.

 

·        Les paramètres climatiques interviennent dans la gestion de son physique.

 

·        On est pas seul à courir, on essaie de suivre celui qui nous double (motivation).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plan type du sujet – vidéo :

 

 

 

 


1.     Caractériser l’activité présentée.

Par exemple : est ce bien de l’athlétisme ? … et du saut, comme on nous le dit ?.

 

 

2.     Définir à quel type de situation on a à faire (situation de référence) :

 

a)      situation d’apprentissage, mais alors quels sont les apprentissages visés ?

 

b)      situation d’évaluation, mais alors qu’est ce qu’on évalue ? (sommative, diagnostique,…) 

 

 

3.    

Quels sont les objectifs définis par l’enseignant ?

Zone de Texte: passer  d’un Etat 1 à un Etat 2

 


4.    

expliquer par rapport aux règles constitutives

 
Quel est le contenu de l’objectif ?

 

 


5.     But de la tâche.

Réponse à la question : « maître, qu’est ce que je dois faire ? » ® « faire tomber les quilles,… »

 


+ comportements moteurs caractéristiques

 

 


6.     Aménagement du milieu matériel et humain.

 

 

7.     Critères de réussite implicites et explicites.

(« maître, quand est ce que je réussi ? »)

 

 

8.     Quels sont les axes de simplification/complication de la tâches (Þ variables didactiques).

 

 

9.     Que fait l’élève pour apprendre, comment est organisé le guidage des apprentissages ?

 

 

10. Conclusion : qu’est ce que je pourrais faire pour rendre cette situation plus pertinente ?

Remarque : si on ne sait pas quoi dire, dire qu’il faudrait qu’il y ait répétition des apprentissages pour

fixer les savoirs.

 

 

 

 

 

 

 

Traitement de sujets vidéo:

 

 

·        L’exposé dure de 5 minutes à 7 minutes 30. Ensuite, les questions servent juste à augmenter ou

diminuer la note mise après cet exposé (qui est donc primordial).

 

·        La 1ère question est toujours la même (durée de la préparation = 30 minutes, la vidéo passe 3 fois) :

 

« Analyser et commenter ce document. Vous pouvez structurer votre exposé en vous aidant des

axes suivants : 1. Quels savoirs et savoirs faire sont mis en jeux au cours de cette séquence ?

                         2. Comment les élèves construisent leurs réponses au regard de la mise en œuvre

de l’enseignant (consigne, dispositif) ?

                                                3. Quels éléments permettent à l’élève de prendre en compte les résultats de son

action ? ».

 

 

            Remarques importantes :

Il y a 2 types dans les savoirs :

1.      Le savoir déclaratif : ce que l’enfant dit savoir faire.

2.      Le savoir-faire (procédural) :  ce que l’enfant est capable de faire.

 

Surtout et obligatoirement prendre en compte les axes proposés, mais ne pas oublier

d’analyser et commenter (donc pas s’en tenir juste à ces axes mais étendre l’étude).

 

 

                                   Attention au terme « mis en jeu » qui est différent (point de vue sens) du terme « visés ».

 

 

 

 

·        Faire une introduction (à l’oral) présentant la séquence, le cycle, le nombre d’atelier,… et une conclusion, à la fin de l’exposé.

 

 

·        Ne pas se restreindre à la vidéo qui ne dure que 3 minutes, se poser des questions sur ce que l’on ne

voit pas.

 

 

·        Structurer sa réponse :

 

I.          Introduction

 

1.      L’activité citée est elle bien l’activité citée ? 

Exemple :on nous dit que c’est de la gym., mais est ce bien une activité de production ou de reproduction de formes codée ?

 

2.      Quand se situe cette activité ? : on nous dit que c’est la 3ème, mais sur combien ?

Est ce la dernière séance?

                                               Qu’est ce que les enfants ont fait en A.P.S. auparavant (football, natation, …) ?

 

3.      On nous dit que c’est une classe de cycle 3, mais quel est précisément l’âge des enfants ? :

afin de mieux orienté notre analyse. En effet des élèves de  CE2 sont très ¹ des

enfants de CM2 car, par exemple, certains élèves de CE2 n’ont pas encore la force

musculaire pour se tenir en A.T.R.

 

 

 

 

II.                 Se demander si (la plupart du temps c’est les 2, mais argumenter son choix) :

 

1.      C’est une situation d’apprentissage (comme le dit, par exemple, la vidéo) mais alors quels

sont les savoirs visés ?

 

2.      C’est une situation d’évaluation mais alors qu’est ce qu’on cherche à évaluer ?

 

 

 

III.               Se demander quel est l’objectif visé par

l’enseignant. Le contenu de cet objectif = ce qu’il faut pour que l’enfant puisse passer

d’un Etat 1 à un Etat 2 (cela implique d’avoir défini ces 2 Etats au préalable).

 

 

 

IV.              Quelle est la tâche proposée aux élèves ? :

 

1.      But de la tâche : « qu’est ce que je dois faire maître ? ».

 

2.      Aménagement du milieu matériel et humain (parler de sécurité,…).

 

3.      Critère de réussite.

 

 

 

V.                 Se demander qu’est ce qui est mis en place pour guider les apprentissages des élèves : comment, dans la situation proposée, l’enfant apprend ? et quoi ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vocabulaire

 

 

·        Décalage optimal (maxi.) = écart entre les ressources d’un sujet et la difficulté lié à la tâche.

 

·        Programme moteur généralisable : devant une tache, l’enfant se réfère à quelque chose de déjà connu, il fait

donc appel à ce programme.

 

·        Situation initiale de référence : permet à l’enseignant de déterminer le niveau des élèves dans l’activité

proposée et permet à l’élève d’identifier les problèmes dans cette activité.

 

·        L’élève apprend quand on le confronte à un obstacle, par tâtonnement expérimental.

 

·        L’impuissance acquise : élève qui veut se mettre en échec, il choisi la voie la plus difficile, ainsi s’il rate, ce

sera normal. Il se met ainsi en position de non-apprentissage.

 

·        Quelques stades :

1.      2-5 ans : enfant très égocentrique, centre la tâche sur lui même et sur ses proba. de réussite.

2.      5-6 ans : l’enfant juge la difficulté en fonction des caract. qu’il en perçoit.

3.      6-7 ans : estimation sur plan normatif, si beaucoup d’enfant réussissent alors la tâche sera

jugée comme étant facile.

 

·        Avant la tâche, l’élève construit un projet d’action, cette construction s’appelle base d’orientation.

Remarque : pour pouvoir par la suite modifié son projet d’action, il est impératif que l’enfant connaisse le

résultat de son action (et + le sujet est expert, + le résultat doit être précis).

 

Projet d’action de l’enfant (base d’orientation) :

1.      Résultat attendu.

2.      Procédure que je vais mettre en œuvre.

3.      Sensations que je compte ressentir.

 

Système de régulation durant l’action : feed-back.

 

Après l’action, comparaison de paramètres :

1.      Résultat obtenu / résulta attendu.

2.      Procédure que je comptais mettre en œuvre / procédure que j’ai réellement mise en œuvre.

3.      Sensation attendu / sensation ressenti.

 

            Après tout essai, se référer à son programme moteur généralisable (modifié) et refaire un projet d’action.

 

·        Type de prise de repère ou de sensation :

1.      Extéroceptif : prise sur l’extérieur (le touché,…).

2.      Intéroceptif : lié aux organes intérieur au corps (point de côté,…).

3.      Proprioceptif : articulaire (tendu, replié,…).