Les échauffements.

 

 

·        Ils font partie intégrante des éléments de production de la performance.

 

 

·        Ils servent à éviter de se faire mal :

 

Un muscle est un ensemble de fibre qui, à froid, sont très peu élastique et donc peuvent se casser.

 

La ressynthèse de l’A.T.P. (qui transporte l’énergie dans le muscle) se fait mieux à chaud qu’à froid.

 

Si les ligaments étaient non élastique, ils casseraient tout de suite, donc il faut chauffer les articulations

pour augmenter l’élasticité ligamentaire.

 

 

·        Ils préparent l’organisme à l’effort en sollicitant les fonctions à utiliser pendant l’effort.

 

 

·        Ils permettent une augmentation du rythme cardiaque, mais surtout une vasodilatation (augmentation du

diamètre des veines et des artères impliquant un apport sanguin plus important) du système

veineux et artériel, ainsi qu’une augmentation du volume systolique (volume de sang envoyé par

une contraction cardiaque).

 

 

 

·        Au niveau pulmonaire, il y a une augmentation du rythme respiratoire, une broncho-dilatation et une

augmentation du volume gazeux utilisé.

 

 

 

·        Entre la fin de l’échauffement et l’effort, il doit y avoir environ 5 minutes (pas plus de 10 minutes).

 

 

·        Pour un bon échauffement :

 

Intensité progressive, entrecoupée d’exercices d’étirement pour conserver l’amplitude articulaire.

 

La durée d’un échauffement ne doit pas être inférieure à 20 minutes.

 

Aller assez loin dans l’effort pour solliciter les fibres profondes des muscles.

 

 

·        Pour la récupération :

 

Passive : pas bonne, l’organisme se débrouille seul.

 

Active : l’évacuation des déchets est facilitée par la respiration encore forte, le rythme cardiaque

élevé,…