Les échauffements.
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Ils font partie intégrante
des éléments de production de la performance.
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Ils servent à éviter
de se faire mal :
Un muscle est un ensemble de fibre qui, à froid,
sont très peu élastique et donc peuvent se casser.
La ressynthèse de l’A.T.P. (qui transporte
l’énergie dans le muscle) se fait mieux à chaud qu’à froid.
Si les ligaments étaient non élastique,
ils casseraient tout de suite, donc il faut chauffer les articulations
pour augmenter
l’élasticité ligamentaire.
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Ils préparent l’organisme
à l’effort en sollicitant les fonctions à utiliser pendant l’effort.
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Ils permettent une augmentation
du rythme cardiaque, mais surtout une vasodilatation (augmentation du
diamètre des
veines et des artères impliquant un apport sanguin plus important) du système
veineux et
artériel, ainsi qu’une augmentation du volume systolique (volume de sang
envoyé par
une contraction
cardiaque).
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Au niveau pulmonaire, il y a une augmentation
du rythme respiratoire, une broncho-dilatation et une
augmentation
du volume gazeux utilisé.
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Entre la fin de l’échauffement et l’effort, il doit y
avoir environ 5 minutes (pas plus de 10 minutes).
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Pour un bon échauffement :
Intensité
progressive, entrecoupée d’exercices d’étirement pour conserver
l’amplitude articulaire.
La durée
d’un échauffement ne doit pas être
inférieure à 20 minutes.
Aller assez loin dans l’effort
pour solliciter les fibres profondes des
muscles.
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Pour la récupération :
Passive : pas bonne, l’organisme se
débrouille seul.
Active : l’évacuation des
déchets est facilitée par la respiration encore forte, le rythme
cardiaque
élevé,…