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Course de haie
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Problème fondamental
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Créer
la plus grande vitesse le plus tôt possible et la conserver sur une distance
ou un temps donné bref en intégrant les obstacles dans la course,
c’est à dire concilier courir et franchir. |
Principe d’efficacité : ·
Bio-informationnel ·
Bio-mécanique ·
Bio-énergétique |
Elaborer la course après le départ pour arriver dans la bonne
zone d’impulsion. A faire : Sauter le mieux possible c’est à dire en arrivant
le plus proche possible derrière la haie. Ce qui implique de garder
un nombre de foulée constant. Construire des repère visuel afin de courir dans l’axe. Rechercher le meilleur rapport fréquence/amplitude pour avoir
un nombre de foulée constant en vue du franchissement de la
première haie. Impulser dans l’axe de la course, fixer épaules/ tête pour
éviter les rotations et les déséquilibres à la réception. Raser l’obstacle, dissocier jambe d’attaque (qui passe en 1er
la haie) et jambe d’impulsion. Retour actif de la jambe de poussée dans l’axe pour enchaîner
réception du saut et course. Entre les haies, nombre de foulée constant afin d’arriver sur
le bon pied d’appel. Rechercher
le meilleur rapport fréquence/amplitude sans négliger une montée importante
des genoux impliquant une diminution de la fréquence des foulées et moduler
sa vitesse vers l’avant et vers le haut. |
Défauts caractéristiques
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Départ : Réaction lente au
signal (ou trop rapide), jambe tendu et bras à l’amble (comme les robots). Course après la 1er
haie :
Nombre de foulée inconstant, piétinement à l’approche de la haie impliquant
un fort ralentissement voire un
arrêt. Lors du franchissement : Trop prés de la
haie, saut trop haut. Manque d’impulsion de la jambe d’appel, ramené de cette
jambe non effectué dans
l’axe de la course Arrivée : S’arrête avant la
ligne, sur la ligne ou quelque mètres après la ligne. Ce qui implique qu’elle
n’a pas été franchie en pleine vitesse. |